Fréquemment, le Piano qui chante est associé à des événements : Paris – plages, Festivals, fêtes privées … Parfois, Le Piano qui chante organise ses propres événements : prestation avec le journaliste Jacques Perciot, la chanteuse Anne Peko, concours de la chanson française la plus triste du monde … Certains de ces événements vous sont présentés ici.
Depuis 12 ans au festival du film romantique de Cabourg !Depuis 1997, le Piano qui chante anime la soirée de clôture du festival de Cabourg. Une régularité rarissime dans le domaine de l’événementiel. |
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Avec le journaliste Jacques Perciot !Jacques Perciot, journaliste spécialisé dans la chanson, a écrit une quinzaine d’ouvrages sur le domaine. Il organise également des conférences ainsi que des visites guidées dans Paris sur le thème de la chanson. Il intervient parfois lors de soirées Piano qui chante en délivrant commentaires et anecdotes sur les chansons choisies. En savoir + |
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Des heureux événements !Les premiers jumeaux Piano qui chante (issus d’une rencontre effectuée lors d’une soirée Piano qui chante) sont nés en 2009. Félicitations aux heureux parents ! |
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À Paris-plages depuis sa création !Le Piano qui chante est un des rares spectacles présent à Paris Plages depuis sa création en 2004. Parce qu’il est convivial, familial et original. |
Concours de « La chanson française la plus triste du monde ! »
C’est au Picardie en 2008 qu’a eu lieu le très improbable concours de « la chanson française la plus triste du monde ». Le concours a donné lieu à une soirée Piano qui chante particulièrement intense et passionnante. Chaque participant a été jugé sur le choix de la chanson, son interprétation et les applaudissements reçus.
Même si nous n’avons pas eu le « Misère » de Coluche (sketch chanté) ni le « Mon vieux Pataud » de Berthe Sylva (un mendiant se suicide devant la dépouille de son chien), nous avons entendu de bien jolies chansons. Ainsi nous avons eu droit aux « Goélands » (Damia) mais sans les battements d’ailes pourtant indispensables, au « Chanteur malheureux » (Claude François) sans l’électrocution, à « Mon mari est parti » (Anne Sylvestre)
mais est-ce bien triste ?, à « Je ne sais pas choisir » (Émilie Loizeau) très cruel dilemne, au « Petit âne gris » (Hugues Aufray) chanson triste des grands enfants, etc …
Awards :
- Le « Piano qui chante d’Or » a été décerné à Robert Zardé pour son interprétation poétique et nostalgique de la chanson Un petit coquelicot, initialement interprétée par Mouloudji.
- Un 2ème prix a été décerné à Sabine, dite la Fée Carabine. Son interprétation poignante et déchirante de Nantes a relégué la version originale de Barbara au rang de bleuette pour midinette.
- Le 3ème prix a été décerné à Daniel M. pour son Ne me quitte pas. Sa version est capable de faire revenir, penaudes et ridicules, toutes les Cécilia de la terre.